Mon Dieu sera ton Dieu, ta vie sera ma vie, partout où tu iras j'irai avec toi.
L'amour était La seule chose qui pouvait me faire prononcer ces mots, mais on me l'aurait dit jadis je devais répondre par la négation. Je ne savais certainement pas ce que voulais dire ces mots ; néanmoins toutefois, je pouvais déjà percevoir la profondeur de ces mots en me disais qu'ils avaient du sens ; non pas forcément pour moi, toutefois pour ceux qui se le disaient en se regardant les yeux dans les yeux.
Ma mère m'aimait beaucoup, est-il nécessaire que je le mentionne ? Certainement, mais même si c'était son devoir de m'aimer ; dans mon cœur mon père n'avait pas une place moindre. J'étais déjà arrivée à un âge où les filles de mon village allaient en mariage mais moi, je n'avais pas encore pris le temps d'y penser. Mes parents l'un comme l'autre ne trouvaient en cela aucun motif de condamnation, au contraire ils trouvaient en moi une perle qui avait juste besoin d'espace et non d'alliance. Avec certitude, j'oserai vous dire qu'ils voulaient aussi que je sois appelée au mariage, juste pour vous dire que j'étais la fille qui avait tout pour elle, et qui suivait les traces de ses parents.
Solange, jeune de fille de mon état, ayant déjà bâtit quelque chose sur le plan professionnel. Je me perdais dans mon village juste pour savoir ce qui se faisait au-delà de notre frontière, mais personne n'osait m'inviter à y aller, je voulais bien ; sans raison j'étais inerte semblable à une tige sèche.
Mon village était très beau, de mon point de vue en tout cas, je prêcherai d'abord pour ma chapelle et j'apprécierais les mesures du possible. Il y avait là dans mon village, un endroit qui m'avait été interdit, mais brillant pas mon indépendance et ma maturité la proposition n'était pas une obligation, si non qui suis-je sans ma liberté et mon libre arbitre. Endroit reflétant une certaine dépravation, juste par curiosité, j'allais pour m'y essayer et comprendre ce que les garçons trouvent aux risques des jeux de hasard. Mon observation se transforma en essaie, mon essaie prit une tournure de plaisir et mon plaisir ne prit jamais fin car j'y voyais aussi un bonheur irréfutable dans le gain que je ne souhaitais pas mettre de côté.
Il y avait les jeux d'une part et il y avait mes parents de l'autre côté, ce n'était pas un si grand défi, car sans gaspiller de l'énergie je les avais convaincu dans le silence.
De plus en plus je fréquentais cet endroit, de jour en jour je faisais des rencontres, devenant même une star à qui on demandait des informations de placement, rien ne me résistais, même quand je ne réalisais pas du profit, je réussissais toujours à combler ma satisfaction. Il y avait là un homme un peu plus âgé que moi, qui depuis peu venait tester sa chance, mais celle-ci ignorait son nom, dommage pour lui qui venait en guerrier en rentrait en férié. Dans le feu de l'action, un jour, il me demanda une combinaison ; ce que je n'hésitais pas à lui donner mais il ne piocha pas la bonne carte. Il ne se découragea pas, il revint un autre jour et ce jour-là on convergea nos jeux et de peu on rata d'enfiler le cheval gagnant : ce fut donc le début d'un long partenariat avec Daniel.
Des coupons de caisse, des documents de combinaison, mes parents n'avaient plus de chez eux, et leurs remarques furent pertinentes car s'ils ne le disaient pas, j'allais le faire à leur place.
De plus, je voyais Daniel et pour mes parents cela devenais déjà déconcertant à se demander qui était ce jeune homme pour qui je laissais mes activités du quotidien pour me livrer aux jeux du hasard car la touche de découverte ne tenait plus ce n'était pus devenu un module d'exploration ou de recherche mais plutôt une obsession me prenant ainsi mon temps et toute mon énergie.
Il vint se présenter chez nous pour rencontrer mes parents, il est vrai que je ne savais pas assez de chose sur lui, mais, j'osais tout de même prendre le risque, et comme mes parents me faisaient confiance, il avait donc conquit tout le monde sans faire un effort ou s'épuiser.
Notre relation prenait déjà une tournure un plus sérieuse, et mes parents posaient de plus en plus de questions car j'étais toujours chez eux. Le jeune homme usait de nos avantages pour jouir de certains privilèges qu'il ne tournait pas assez à son avantage, car il dépensait dans les plaisirs de la vie et les fiertés du ventre, accompagné par moi ou pas.
Il n'avait pas d'emploi, cela inquiétait mes parents à l'idée de savoir comment il allait faire pour prendre soin de moi, mais à cause de moi ils étaient obligés de le tolérer sans rechigner. Il avait perdu ses parents bien avant notre rencontre il ne faisait presque rien pour sortir de la précarité on aurait dit que le travail pour lui était la corvée du siècle sans laquelle on ne peut tirer aucune leçon mais malgré tout cela n'était de me faisait chavirer.
Il passait ses journées à gambader chez mes parents, se remplissant le ventre de bonnes cuissons, de bons vins et par-dessus tout il joignait sa vanité au bavardage et au commérage, quel homme ! Il se croyait tout permis, on lui avait donné la main, il voulait saisir tout le bras, il faisait ce qu'il voulait, il s'amusait même à parler au nom de mes parents, la seule chose qu'il ne faisait pas c'est oser se reproduire avec moi chez mes parents, encore que même là je ne trouvais rien de mal en cela.
Un an passait, deux, puis trois ; et déjà ma famille qui brillait par sa rigueur et jouissait d'une grande notoriété commençait déjà à perdre de son influence en terme d'éthique et de respect à cause de lui. Les langues dans toute notre communauté commençaient déjà à se dénouer pour décrier tous ses agissements et ses méfaits.
Des fois des personnes m'interpellaient dans la rue pour me parler de lui et de son passé mais aucunement cela ne me concernait, je n'apposais aucune réflexion nécessaire.
Mes parents en avaient déjà assez de lui, il le traitait de vaut rien, et le reprochait d'avoir foutu ma vie en Lambeau, mais en personne intègre qui respecte ma liberté, on ne brisait pas les codes ou n'allait pas au-delà car selon eux il fallait que je constate que ce monsieur n'était pas le bon pour moi, il espérait qu'il me fasse souffrir et qu'il m'abandonne pour que je vois et me rendre compte de leur vérité mais hélas.
Nous eûmes deux enfants, il n'en prit pas soin intégralement sur le plan financier à cause de ses moyens, mais il était là pour le plus grand désarroi de ma mère qui a dû l'accepter et se résoudre au fait qu'il n'allait pas me laisser tomber.
Après dix ans passés avec lui, il est toujours là, nous sommes toujours ensemble. Il n'est pas le plus beau mais il l'est pour moi, le plus fort mais c'est mon héros, le plus intelligent mais pour moi il eut le Nobel à ce domaine.
Nous avons dû briser les barrières et nous faire accepter et respecter. Il m'appelait son ami, car pour moi il a donné sa vie. Avant tout débat, son Dieu est devenu mon Dieu et ma vie est devenue sa vie, partout où je suis allée il y est allé avec moi et pour moi il a été le meilleur cadeau en manifestation sur la progéniture que nous avons. Ils peuvent germer les fleurs que nous avons bâti ensemble, l'héritage qu'il a laissé l'honorera.
L'amour était La seule chose qui pouvait me faire prononcer ces mots, mais on me l'aurait dit jadis je devais répondre par la négation. Je ne savais certainement pas ce que voulais dire ces mots ; néanmoins toutefois, je pouvais déjà percevoir la profondeur de ces mots en me disais qu'ils avaient du sens ; non pas forcément pour moi, toutefois pour ceux qui se le disaient en se regardant les yeux dans les yeux.
Ma mère m'aimait beaucoup, est-il nécessaire que je le mentionne ? Certainement, mais même si c'était son devoir de m'aimer ; dans mon cœur mon père n'avait pas une place moindre. J'étais déjà arrivée à un âge où les filles de mon village allaient en mariage mais moi, je n'avais pas encore pris le temps d'y penser. Mes parents l'un comme l'autre ne trouvaient en cela aucun motif de condamnation, au contraire ils trouvaient en moi une perle qui avait juste besoin d'espace et non d'alliance. Avec certitude, j'oserai vous dire qu'ils voulaient aussi que je sois appelée au mariage, juste pour vous dire que j'étais la fille qui avait tout pour elle, et qui suivait les traces de ses parents.
Solange, jeune de fille de mon état, ayant déjà bâtit quelque chose sur le plan professionnel. Je me perdais dans mon village juste pour savoir ce qui se faisait au-delà de notre frontière, mais personne n'osait m'inviter à y aller, je voulais bien ; sans raison j'étais inerte semblable à une tige sèche.
Mon village était très beau, de mon point de vue en tout cas, je prêcherai d'abord pour ma chapelle et j'apprécierais les mesures du possible. Il y avait là dans mon village, un endroit qui m'avait été interdit, mais brillant pas mon indépendance et ma maturité la proposition n'était pas une obligation, si non qui suis-je sans ma liberté et mon libre arbitre. Endroit reflétant une certaine dépravation, juste par curiosité, j'allais pour m'y essayer et comprendre ce que les garçons trouvent aux risques des jeux de hasard. Mon observation se transforma en essaie, mon essaie prit une tournure de plaisir et mon plaisir ne prit jamais fin car j'y voyais aussi un bonheur irréfutable dans le gain que je ne souhaitais pas mettre de côté.
Il y avait les jeux d'une part et il y avait mes parents de l'autre côté, ce n'était pas un si grand défi, car sans gaspiller de l'énergie je les avais convaincu dans le silence.
De plus en plus je fréquentais cet endroit, de jour en jour je faisais des rencontres, devenant même une star à qui on demandait des informations de placement, rien ne me résistais, même quand je ne réalisais pas du profit, je réussissais toujours à combler ma satisfaction. Il y avait là un homme un peu plus âgé que moi, qui depuis peu venait tester sa chance, mais celle-ci ignorait son nom, dommage pour lui qui venait en guerrier en rentrait en férié. Dans le feu de l'action, un jour, il me demanda une combinaison ; ce que je n'hésitais pas à lui donner mais il ne piocha pas la bonne carte. Il ne se découragea pas, il revint un autre jour et ce jour-là on convergea nos jeux et de peu on rata d'enfiler le cheval gagnant : ce fut donc le début d'un long partenariat avec Daniel.
Des coupons de caisse, des documents de combinaison, mes parents n'avaient plus de chez eux, et leurs remarques furent pertinentes car s'ils ne le disaient pas, j'allais le faire à leur place.
De plus, je voyais Daniel et pour mes parents cela devenais déjà déconcertant à se demander qui était ce jeune homme pour qui je laissais mes activités du quotidien pour me livrer aux jeux du hasard car la touche de découverte ne tenait plus ce n'était pus devenu un module d'exploration ou de recherche mais plutôt une obsession me prenant ainsi mon temps et toute mon énergie.
Il vint se présenter chez nous pour rencontrer mes parents, il est vrai que je ne savais pas assez de chose sur lui, mais, j'osais tout de même prendre le risque, et comme mes parents me faisaient confiance, il avait donc conquit tout le monde sans faire un effort ou s'épuiser.
Notre relation prenait déjà une tournure un plus sérieuse, et mes parents posaient de plus en plus de questions car j'étais toujours chez eux. Le jeune homme usait de nos avantages pour jouir de certains privilèges qu'il ne tournait pas assez à son avantage, car il dépensait dans les plaisirs de la vie et les fiertés du ventre, accompagné par moi ou pas.
Il n'avait pas d'emploi, cela inquiétait mes parents à l'idée de savoir comment il allait faire pour prendre soin de moi, mais à cause de moi ils étaient obligés de le tolérer sans rechigner. Il avait perdu ses parents bien avant notre rencontre il ne faisait presque rien pour sortir de la précarité on aurait dit que le travail pour lui était la corvée du siècle sans laquelle on ne peut tirer aucune leçon mais malgré tout cela n'était de me faisait chavirer.
Il passait ses journées à gambader chez mes parents, se remplissant le ventre de bonnes cuissons, de bons vins et par-dessus tout il joignait sa vanité au bavardage et au commérage, quel homme ! Il se croyait tout permis, on lui avait donné la main, il voulait saisir tout le bras, il faisait ce qu'il voulait, il s'amusait même à parler au nom de mes parents, la seule chose qu'il ne faisait pas c'est oser se reproduire avec moi chez mes parents, encore que même là je ne trouvais rien de mal en cela.
Un an passait, deux, puis trois ; et déjà ma famille qui brillait par sa rigueur et jouissait d'une grande notoriété commençait déjà à perdre de son influence en terme d'éthique et de respect à cause de lui. Les langues dans toute notre communauté commençaient déjà à se dénouer pour décrier tous ses agissements et ses méfaits.
Des fois des personnes m'interpellaient dans la rue pour me parler de lui et de son passé mais aucunement cela ne me concernait, je n'apposais aucune réflexion nécessaire.
Mes parents en avaient déjà assez de lui, il le traitait de vaut rien, et le reprochait d'avoir foutu ma vie en Lambeau, mais en personne intègre qui respecte ma liberté, on ne brisait pas les codes ou n'allait pas au-delà car selon eux il fallait que je constate que ce monsieur n'était pas le bon pour moi, il espérait qu'il me fasse souffrir et qu'il m'abandonne pour que je vois et me rendre compte de leur vérité mais hélas.
Nous eûmes deux enfants, il n'en prit pas soin intégralement sur le plan financier à cause de ses moyens, mais il était là pour le plus grand désarroi de ma mère qui a dû l'accepter et se résoudre au fait qu'il n'allait pas me laisser tomber.
Après dix ans passés avec lui, il est toujours là, nous sommes toujours ensemble. Il n'est pas le plus beau mais il l'est pour moi, le plus fort mais c'est mon héros, le plus intelligent mais pour moi il eut le Nobel à ce domaine.
Nous avons dû briser les barrières et nous faire accepter et respecter. Il m'appelait son ami, car pour moi il a donné sa vie. Avant tout débat, son Dieu est devenu mon Dieu et ma vie est devenue sa vie, partout où je suis allée il y est allé avec moi et pour moi il a été le meilleur cadeau en manifestation sur la progéniture que nous avons. Ils peuvent germer les fleurs que nous avons bâti ensemble, l'héritage qu'il a laissé l'honorera.
L''amour fécond et victorieux fait la beauté de votre récit.