Fabien Bosquet était en train de vider un carton de livres fraîchement arrivés et de disposer les ouvrages sur des étagères en bois massif quand la sonnette retentit. En équilibre sur son... [+]
J'ai rêver un jour de nous, loin de ce temps qui passe, j'étais alors seul en ce monde, au beau milieu de rien, et là, je t'ai vu t'avancer, l'horizon au delà des dunes était gris, s'il y en avait un, car tout était neuf, ou plutôt rien n'existait, le vide, le néant et le sable.
J'ai soudain senti le vent sur ma peau, et la douce chaleur du soleil, mais d'où venaient-ils ?
Toi qui t'avançais encore, lorsque le ciel était devenu bleu.
Le ciel...ou plutôt le monde.
Il n'y avait rien que nous, au beau milieu de rien , et je ne comprenais toujours pas, toutes ces choses qui doucement apparaissaient.
Et toi qui était là et me souriais.
Tout autour de nous la vie, et tout qui se mettait à bouger, un arbre, une colline, une rivière...
Puis le chant des oiseaux...
Nous n'étions plus au milieu de rien, mais au milieu d'in tout, le sable avait crée la vie ..
Tu étais là, dans cet endroit irréel et j'avais peur, la peur que tu disparaisses.
La peur que tout s'efface, disparaisse comme un château de sable à la marée montante...
Oh oui, tellement peur que tu disparaisses, mirage dans la désert, que disparaisse tout ce que le sable avait construit.
J'ai voulu t'enlacer pour te retenir, mais surprise...
Tu n'étais pas un rêve, tu étais bien réelle, face à moi, vivante et si chaude, et cette chaleur qui m'envahissait.
Cet horizon, plein de lumière, de ta lumière.
Ce monde avaec la vie.
Je me suis alors rendu compte que c(était toi qui l'avais façpnné par ton esprit, et qu'à ce moment mon monde ce serait..
Toi.
J'ai soudain senti le vent sur ma peau, et la douce chaleur du soleil, mais d'où venaient-ils ?
Toi qui t'avançais encore, lorsque le ciel était devenu bleu.
Le ciel...ou plutôt le monde.
Il n'y avait rien que nous, au beau milieu de rien , et je ne comprenais toujours pas, toutes ces choses qui doucement apparaissaient.
Et toi qui était là et me souriais.
Tout autour de nous la vie, et tout qui se mettait à bouger, un arbre, une colline, une rivière...
Puis le chant des oiseaux...
Nous n'étions plus au milieu de rien, mais au milieu d'in tout, le sable avait crée la vie ..
Tu étais là, dans cet endroit irréel et j'avais peur, la peur que tu disparaisses.
La peur que tout s'efface, disparaisse comme un château de sable à la marée montante...
Oh oui, tellement peur que tu disparaisses, mirage dans la désert, que disparaisse tout ce que le sable avait construit.
J'ai voulu t'enlacer pour te retenir, mais surprise...
Tu n'étais pas un rêve, tu étais bien réelle, face à moi, vivante et si chaude, et cette chaleur qui m'envahissait.
Cet horizon, plein de lumière, de ta lumière.
Ce monde avaec la vie.
Je me suis alors rendu compte que c(était toi qui l'avais façpnné par ton esprit, et qu'à ce moment mon monde ce serait..
Toi.
Au passage, j'ai écris une TTC pour le "Cours et Noir" !
N'hésitez pas à venir si vous voulez frissonner de froid tout comme de peur !
Voici le lien afin d'y accéder:
https://short-edition.com/fr/oeuvre/tres-tres-court/un-coeur-gele