L’amour ne dure pas trois ans faisons mentir l’auteur
Les peurs, les doutes me toisant sont comme un tir au coeu
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C’est elle qui m’a accueilli.
Elle avait un visage éclaboussé par des tâches de rousseur. Des yeux très verts et une voix un peu cassée
Elle parlait avec un ton langoureux, avec une mollesse très gracieuse. Elle prenait le temps de soigner la prononciation de chaque syllabes et de chaque mot.
Elle m’a dit :
_Bonjour. Asseyez-vous là. Mr Untel va arriver. Vous pouvez vous servir du café attendant.
J’ai pensé:
« On aura trois enfants , ils seront magnifiques, une maison à Treillières, un monospace pour les week-end à Carnac, ma mère va t’adorer. »
Je me suis assis. J’ai pris une revue quelconque pour avoir un alibi à mon voyeurisme.
Elle est reparti s’assoir à son bureau.
Elle avait un jean moulant. Ses talons hauts faisaient chalouper son magnifique cul. Quand elle marchait, on avait l’impression qu’il gambillait au rythme des « tchac ! » que faisaient ses talons sur le carrelage.
D’ailleurs, elle ne marchait pas, elle défilait.
Je connais des gens qui, même avec le plus bel effort et en dansant, sont incapables de bouger leurs hanches comme elle fait simplement en marchant.
Définition de la frustration : ne pas pouvoir palper ses fesses.
Elle avait des cheveux bouclés et châtains. Ils me rappelaient les lamelles enspiralées qui s’échappaient du bois après le passage d’un rabot.
Elle portait un débardeur blanc très léger. Le tissus commençait là où naissaient ses seins dans lesquels jouait un grand collier pareil à un chapelet.
Il aurait fallu que je vienne après elle, que je fasse glisser mes mains le long de ses bras nus, que je fende avec ma tête le voile que formait ses cheveux pour atteindre son cou de mes lèvres.
Il aurait fallu que je la picore lentement tout en laissant jouer mes doigts plus au sud.
Il aurait fallu que j’empoigne fermement ses fesses tout en mordant ses épaules.
Il aurait fallu que....
_Monsieur ? Bonjour. Je suis monsieur Untel. Merci d’être venu. Veuillez me suivre.
Elle avait un visage éclaboussé par des tâches de rousseur. Des yeux très verts et une voix un peu cassée
Elle parlait avec un ton langoureux, avec une mollesse très gracieuse. Elle prenait le temps de soigner la prononciation de chaque syllabes et de chaque mot.
Elle m’a dit :
_Bonjour. Asseyez-vous là. Mr Untel va arriver. Vous pouvez vous servir du café attendant.
J’ai pensé:
« On aura trois enfants , ils seront magnifiques, une maison à Treillières, un monospace pour les week-end à Carnac, ma mère va t’adorer. »
Je me suis assis. J’ai pris une revue quelconque pour avoir un alibi à mon voyeurisme.
Elle est reparti s’assoir à son bureau.
Elle avait un jean moulant. Ses talons hauts faisaient chalouper son magnifique cul. Quand elle marchait, on avait l’impression qu’il gambillait au rythme des « tchac ! » que faisaient ses talons sur le carrelage.
D’ailleurs, elle ne marchait pas, elle défilait.
Je connais des gens qui, même avec le plus bel effort et en dansant, sont incapables de bouger leurs hanches comme elle fait simplement en marchant.
Définition de la frustration : ne pas pouvoir palper ses fesses.
Elle avait des cheveux bouclés et châtains. Ils me rappelaient les lamelles enspiralées qui s’échappaient du bois après le passage d’un rabot.
Elle portait un débardeur blanc très léger. Le tissus commençait là où naissaient ses seins dans lesquels jouait un grand collier pareil à un chapelet.
Il aurait fallu que je vienne après elle, que je fasse glisser mes mains le long de ses bras nus, que je fende avec ma tête le voile que formait ses cheveux pour atteindre son cou de mes lèvres.
Il aurait fallu que je la picore lentement tout en laissant jouer mes doigts plus au sud.
Il aurait fallu que j’empoigne fermement ses fesses tout en mordant ses épaules.
Il aurait fallu que....
_Monsieur ? Bonjour. Je suis monsieur Untel. Merci d’être venu. Veuillez me suivre.