En classe, ce jour-là !

Ecrire pour informer; Ecrire pour éveiller; Ecrire pour changer; Ecrire pour instruire; Ecrire pour faire rire; Ecrire pour le loisir; Ecrire pour prévenir; Ecrire pour prédire. Aux ... [+]

Toute histoire commence un jour, quelque part.
Ce jour-là, les élevés partis au matin occupèrent d’abord les premières places de la classe.
Tac tac en classe, ils allaient au resto, leur fallait-il un réveil très tôt ? Je passe.
A 8 heures, dans l’ultime harmonie du pat à pat, les autres regagnèrent, leurs places. Je passe !
Nayo nayo, le prof arriva à se mettre en face et le cours débutera, dans la classe.
Pour une vue plus nette, devant, pour une ouille de sens, devant.
Derrière j’ai tort je n’entends pas fort, le prof qui explique le corps du cours. Je passe !
Kungak kungak, comme réverbération de sa marche acoustique, il parla avec éthique et déontologie, qui ? Le prof!
Sur sa place chacun resta classe et même Bilal le plus sage s’éternue en la classe ce jour-là.
Dans le hasard, un stylo fera bruit et dans le hasard un autre le suit.
Quand on se mettra à faire un surplus de sonorité, le prof dit silence et une entente totale fut opérée dans la salle à cet instant.
Entendons de près, les bruits de chaises déplacées et même ceux qui suivirent, entendirent le bruit des oiseaux qui chantèrent en ce moment.
‘’ROC-TOC -SOCK, CRO-ROC-TOCK’’, en ce moment, l’aiguille d’heure de ma montre était pointue à onze (11) exact et pour les minutes, je passe.
Chaque personne sa chaise, deux à deux, les quatre rangées furent occupées. Seul un certain Junior sortait des rangs ce jour-là.
Quand soudain le vent souleva de la fenêtre les rideaux, Je voyais à peine les écrits du tableau. Le soleil qui tapa si fort, Aliou qui se leva si vite pour remettre les voilages, il n’a pas su qu’il était l’heure.
Sur le chemin du retour, khadim le sobre, comme jamais vu, se méta à parler de tout et de rien. Même Ahmet lança un sourie au éclat, encore une chose pas quotidienne.
La journée parue particulière aux constats, aux gestes et aux coïncidences qui s’y sont opérés. Le calme dans la classe, maîtrise du prof en son cours, l’ambiance en cours de route.
Et même quand on s’est mis à aller au resto, Bougouma intercepta le reste de la classe. Mais avant même de conclure, les autres devinèrent son info, c’était, sans doute possible, pour des affaires de caisses.
Au resto c’était le domaine de Wade, qui mangea plat et cuillère à ce que restaurateurs furent étonnés. Pour le restant ce cette journée, je passe.
Ce jour-là c’était un lundi, ce jour-là, on avait cours la matinée.
Ce cours là, c’était un cours de PHYTO
Cette classe-là, c’est 34éme, troisième année de l’AENS en 2XXX, je passe !
Puis les jours qui suivirent furent comme à l’accoutumé, plus calme avec moins de rires .