De mon enfance à ma jeunesse

Toute histoire commence un jour, quelque part dans le monde presisement dans un pays de l’ afrique central et se poursuit dans d’ autre continent du monde mais fait son enjeu en Guinee Equatorial autre pays de l’ afrique central.
Pour affirmer cet argument, j’aimerais vous faire part de mon histoire personnel. (Une histoire vraie). Je m´appelle AZONZOVE MPIKAME JARVISE.
C´était le 21 mars 1996 au Cameroun dans la région du littoral, précisément dans un petit village de la place dit Bomono qu´une jeune fille de 18 ans étant enceinte eu les doleurs d´enfantement. Conduit d´urgence á l´hôpital de district de Tiko dans la région du Sud- Ouest du Cameroun. Apres une semaine de suivit médicaux et de tentation avec le but de pouvoir enfanté normalement comme plusieurs d´autre femmes ; le docteur vit qu´elle courait le risque de perdre sa vie et celle de son enfant. Il décida de passé à la chirurgie. Une tâche qui fut accompli dans la nuit du 28 Mars de la même année. Il l´opérait la jeune fille avec l´intention de pouvoir lui sauvé la vie et d´enlevé de son sein l´enfant décédé. Raison pour laquelle il força les parents de la jeune fille de signé un engagement de vie ou de mort. Apres la signature de cet engagement, le docteur passa au laboratoire et opéra la jeune fille avec succès. Tous ceux qui étaient présents ont été surpris de voir que l´enfant était encore vivant. C´est donc par ce calvaire que le Médecin et ma très cher maman m´on permit de voir le jour le 28 Mars 1996.
Après un moi et quelques semaines de plus passé à l´hôpital, je fus enfin conduit à la résidence de mes grand parent dans un petit village de la ville de Douala qui m’a vu grandi, mieux connu au nom de Bekouma.
Après un an trois moi de vie, ma jeune maman étant très passionné comme beaucoup d´autre fille de son âge et regrettant avoir fauché sa vie, décida de quitté la résidence familial au but de pouvoir se faire une vie radieux, sans tout fois pensé à quoi est- ce que je deviendrai sans elle.Ma grande maman paternelle ``une dame à cœur ouvert à qui je ne pourrai jamais récompensé´. Elle essaya de stopper ma maman de ne pas quitté la maison sans succès alors, elle ne resta qu´avec une seule option, celui de l´interdit de m´amener avec elle et de bien prendre soin de moi. Ce qui fut le cas.
A l’âge de quatre ans, je commence l´école á la petite session de l´école maternelle de Tillo SOCAPALM. Après la maternelle, je continu le primaire dans la même école.
En 2008, je fus baptisé avec mon tout premier diplôme de l´enseignement primaire (C.E.P) et avec une entrée en 6eme validé. Sans tout fois perdre du temps, je continu mon secondaire au Lycée Bilingue de Bekoko. Tous allai bien, je n´ai pas connu d´ écheque durant tous mon parcourt scolaire mais ce n´était pas du tout facile. En classe de 3eme, lors d´un cour d´éducation Physique et Sportif, je ressentais des douleurs au niveau de mon cœur, conduit immédiatement à l´hôpital Baptiste de Mutenguene dans le sud-ouest du Cameroun. J´ai été confirmé patient Cardiovasculaire. Une situation qui ne laissa ma grande mère un seule instant sans larme aux yeux. Très étonné, elle décida d´approfondir des diagnostique dans des hôpitaux de Douala, ainsi qu´à l´hôpital général cardiovasculaire de Bamenda. Apres ces nombreuse visite, les résultats n´ont pas été très différents du premier. La seule solution conseillé par tous les médecins qui mon diagnostiqué était juste de me faire une chirurgie cardiovasculaire. Une opération qui devrait couter une somme de plus de 3 millions de franc CFA et une caution de deux millions huit cent mille était exigé avant le début des traitements. Tache pas facile à ma très chère famille.
Le temps passai et l´examen du brevet s´approchait ; ma grande mère était inconsolable, j´ai proposé à la famille de ne pas trop s´inquiétée pour moi. J´ai décidé de me concentrer sur mes études, je me suis engagé aux révisions avec le but de pouvoir présenté le brevet et réussit, ce qui fut le cas qu´en 2012 j´obtiens mon second diplôme mais le tout premier de l´enseignement secondaire, (B.E.P.C)
Je continu mes études au Lycée bilingue de Molyko–Buea dans le sud- ouest du Cameroun en classe de 2ndc. Tout n´allait pas comme au début, mon engagement aux études s´abaissait petit à petit, j´étais trop préoccuper par rapport à ma santé et à la situation financière de ma famille.
Apres de longue suivit médicaux à l´hôpital General de Douala ; étant l´un des patient du Dr KamdemFelicité, cette dernière conseilla mes parents de m´évacuer à l´étrangé pour de meilleur suivit médicaux.Une idée très bien accueillir par la famille mais très difficile a l´accomplit faut de moyen économique. Ma grande mère très inquiet de ma santé, décida de s´engagé enfin que je puisse effectuer ce voyage médical et regagné ma santé normale.
Personnellement, vu la situation économique de ma famille, je n´y croyais pas à la réussite de ce voyage. Je n´avais que dix-sept ans et j´étais en classe de Première D, je n´avais qu´un seul but, celui de réussit le BAC et allé en exil dans un pays où je pourrai travailler et continuer mes études en prenant soin de moi tous seul.
En 2014, pendant que je suis en train de me préparer pour passer les épreuves du probatoire, ma grande mère me dis : ``jarvise, prépare toi a voyagé car je suis trop dérangé par rapport à ta santé. Donc je m´engage à te faire voyagé et te faire soigner, regagner ta santé sera ma plus grande fierté.´´ après ses paroles, elle me remettra une lourde somme d´argent pour l´engagement de mes document du voyage.
C´est ainsi que je commence à faire les documents dans un pays où l´on ne peut faire confiance en personne en matière d´argent. Je réussi à faire mon passeport, au niveau du visa, je tombe sur de très mauvaise personne qui n´ont que su me baigné. Un certain Mr Emanuel à qui j´ai remis une somme d´un million cinq cent mille Franc CFA pour un visa chinois qu´il m´a promis son obtention au plus tard les trois première semaine après le versement. Une promesse qui n´a qu´été illusion. Apres plus de six mois d´attente, ce Mr m´appela le 10 Octobre 2014 à onze heures me demanda de passé chez lui à 20 heures retirer mon passeport. A ma grande surprise chez lui, je constate que mon passeport a plutôt le visa des Emirat Arabe Unies (Dubaï) valable pour deux mois. C´était pas la bienvenue mais je n´avais pas de choix que d´accepter de réalisé ce voyage afin de ne plus trop blaiser ma grande mère. Le Monsieur me promettra ciel et terre dès mon arrivé à Dubaï. Une fois sur place, j´ai pas vécu le paradis bien espérer. J´espérais trouver un emploi mais ça n´a pas été le cas pendant les deux mois passer sur la terre Arabe.
En Décembre de la même année, je retourna au Cameroun avec pour objectif, de pouvoir m´inscris et réussi le Bac et ce fut le cas qu´en Aout 2015, au babillard de Lycée de Ndongpon dans la région du Littoral, était afficher mon non comme l´un des candidats admit au baccalauréat de l´enseignement secondaire du Cameroun de la section Juin 2015.
Etant titulaire d´un Bac A4, je décida de refaire l´aventure sans toutefois connaitre avec certitude dans quel pays concrètement je devrais m´installé. Après de nombreuse investigations à ce sujet et l´analyse économique, je n´ai que pu obtenir le visa Equato-Guinéen. Pays d’Afrique centrale qui m´accueille en Octobre 2015.Mon seul objectif était celui d´enseigné les langues Française et Anglaise a tous les intéressées et pourquoi pas dans des centre de formations linguistique ou dans des établissements. La première année n´avait pas du tout été facile mais je n´avais pas aussi perdu espoir. J´ai tous supporté jusqu´en Octobre 2016 ou je fais la rencontre de mon premier employeur dans le domaine tant attendu. Le salaire n´étant pas du tout abordable mais l´envi de partager ce que je connaissais ne me permettais pas de laissé le service, alors j´ai décidé de continué le travail dans cet école enfin de pouvoir gagné en expériences et aussi d´être intégré dans la société éducatif. Apres cette premièreannée, j´ai eu la chance d´être contacté dans d´autre école pour dispensé les cours de langue française et anglaise ainsi que les cas particulier et a domicile.
Dans les quatre années que je vie sur la terre Equato-Guinéen, je suis doté de trois ans d´expérience professionnel comme professeur de langue. Amoureux de la langue espagnole, j´ai fait un cousus de cette dernière donc je possède deux diplômes. Sans toutefois oublié ma passion à l’étude, j´ai commencé une carrière universitaire à l´université national abrégé (UNGE) précisément a la faculté des sciences de l´éducation donc je suis en deuxième année de pédagogie. Amoureux de la littérature de l´enseignement, j´ai eu l´initiative d´écrire un livre de la grammaire Anglaise en langue Espagnole donc le Secrétaire d´état chargé des droits d´auteur du Ministère des arts et de la culture national est en train de me promettre sa publication.
En outre, je meure d´envie de vivre dans n´importe quel autre pays du monde d´où j´aurais la possibilité d´enseigné ce que je connais des langues ; je suis passionné de l´enseignement et de l’apprentissage linguistique.
L´exil étant le fais d´être dans un espace confiné, entouré d´un monde inconnu et vaste, d´autant plus inaccessible qu´il paraît impossible de s´échapper de la cage ou s´amassent certain misérable du pays natal, je me trouvais non seulement par amour mais ont dirait pour un bon exilé dans l´obligations d´apprendre la langue Espagnole dans le but de facilité mon interaction dans la société. Beaucoup comme moi, non pas pu apprendre avec toutes les règles de la langue pour diverse raisons. C´est donc la raison pour laquelle la majorité des exilés sur la terre Equato-Guinéen parle très mal l´espagnol.
Nombreux sont ceux qui pense que l´exil est fait pour des raisons économique, politique ou encore un endroit de cachette ; mais j´en souligne que ce n´est pas du tout le cas pour la majorité. Quelques personnes le font par amour étant donné qu´un roi n´est pas très accepté chez lui....