Toute histoire commence un jour, quelque part car chaque jour a son parfun effectivement comme ce dernier jour d'espoir pendant lequel
La nuit était très longue.
La sombreur de la nuit continuais dans la journée.
La chauve-souris était épuisée par cette longue balade sans suite.
Le chant du coq était étouffé par les caquetements de la poule.
Le chien était toujours devant la porte de son maitre parce-que comme convenu sa ration alimentaire dépendait du levée du jour.
L'espoir était de plus en plus agonisant pour le maitre.
Le silence était a son comble lorsque la porte se mis à pousser un cri funéraire.
Le maitre ferait enfin face à son chien, le seul qui le comprenait et lui dit:
- la trahison ne vient pas de moi mais du temps qui m'avait promis la réussite et le bien être.
- mais il se peut que le soleil soit en route afin de nous faire voir les autres.
Le chien s'effondre et dit:
- l'effet du temps a coupé mon appétit.