Déliez, jeune épouse, ces voiles de lin qui tiennent vos appas captifs, et confiez-vous sans crainte à votre maître. N’allez pas déchirer de vos ongles ce visage d’albâtre ; ne repoussez pas les caresses. Cette nuit qui vous effraye n’offre pourtant aucun danger. Pourquoi vous défendre ? lorsqu’il aura vaincu, votre triomphe est certain.